Activités à faire autour de Couëron (44)

Le Pellerin - Paimboeuf (La Vélodyssée) vous invite à découvrir un paysage enchanteur, où le canal de la Martinière, véritable fil conducteur de votre parcours, serpente entre la Loire, les marais et le bocage. Vous emprunterez de petites routes paisibles, plongées dans une ambiance bucolique caractéristique de l'estuaire de la Loire, tout en partageant cette étape avec La Loire à Vélo.

Le sentier de l'Étang Bernard, situé à Saint-Étienne-de-Montluc dans le département de la Loire-Atlantique (44), met en valeur les marais stéphanois. Après avoir traversé les zones humides, la promenade se poursuit par l'exploration des hameaux voisins, agrémentés de petits chemins discrets.

Le circuit de la Cossonière, situé au Pellerin dans le département 44, débute à l’aire naturelle de la Basse Ville au Vay. Cette agréable randonnée de 8 kilomètres vous plonge dans un paysage rural, au bord des champs de blé, de maïs, d’orge et des prairies cultivées, un véritable régal pour les passionnés de nature. En empruntant des sentiers étroits et sinueux, ainsi que de larges allées ombragées par des arbres, ce parcours offre également une excellente opportunité d’observer la riche faune et flore qui caractérisent la région du Pellerin.

Le canal de la Martinière, situé à Le Pellerin dans le département de la Loire-Atlantique (44), est un site chargé d'histoire. Dès le 11e siècle, la commune s'est développée grâce à sa position stratégique sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle et à son rôle d'avant-port de Nantes, favorisé par la Loire. Cependant, au 19e siècle, l'accès à cette partie peu profonde de l'estuaire est devenu difficile pour les grands navires en raison des îles et des bancs de sable. Pour pallier ce problème, le creusement du canal a débuté en 1882 et s'est achevé en 1893. S'étendant sur 15 km, il relie Le Pellerin à l'est et le Carnet à l'ouest, en suivant la rive gauche de la Loire. Jusqu'en 1913, année de son abandon, le canal a permis le passage de 10 000 embarcations, alors que la ville a préféré dragué le fleuve. Aujourd'hui, cet espace est devenu un véritable havre de paix pour les amoureux de la nature. Des kilomètres de chemins de halage le bordent, en faisant un lieu de promenade parfait. Le circuit de 6 km proposé invite petits et grands à flâner le long de ses berges ombragées, où des tables de pique-nique sont installées sous les saules et peupliers. À proximité de l'écluse, une imposante cheminée en briques, vestige d’un bâtiment abritant des machines à vapeur, sert de phare. La machinerie qui régule le fonctionnement de l'écluse, un mécanisme unique en Europe, a été soigneusement restaurée et est accessible au public grâce à l'ACCAM (Association Culturelle du Canal Maritime de la Basse Loire). En toile de fond, la tour du Buzay, vestige d'une abbaye cistercienne datant du 12e siècle, témoigne de l'histoire riche de ce lieu.

En empruntant la rue du Bois, on quitte rapidement l'agitation urbaine pour s'enfoncer dans la quiétude de la forêt. Risquerait-on de se perdre ? Pas vraiment, car au sein de ces 14 hectares, il est peu probable de s'égarer, mais il y a de fortes chances d'oublier le temps qui passe. Qui sait, peut-être même y perdra-t-on un peu de son esprit ? C'est peut-être ce que le Bois des Fous a à offrir. Si le nom de la commune, La Montagne, est sans équivoque, l'origine de celui de ce bois reste sujette à débat. Est-il véritablement le Bois des Fous, des Faous ou d'Effou ? Tout semble remonter à une histoire de hêtres : en latin, on les appelle fagus, et en breton, faou. Ces majestueux arbres, entourés de chênes, de châtaigniers, d'acacias et de merisiers, peuplent le lieu. Sous leur ombre bienfaisante, se trouve une flore herbacée fragile qui exige de rester vigilant en marchant. En cheminant, choisissez un de ces magnifiques hêtres et arrêtez-vous à l’abri de son feuillage dense : vous y trouverez une fraîcheur bienvenue en été et, peut-être en automne, la surprise de quelques bolets.

La commune d'Indre, la plus ligérienne de l'agglomération nantaise, vous invite à découvrir un circuit de randonnée qui vous plongera dans son atmosphère pittoresque et légèrement rétro, typique des anciens villages de pêcheurs. En particulier dans la zone de Basse-Indre, vous aurez l'occasion de parcourir des ruelles étroites appelées venelles, qui s'élèvent vers le cœur du bourg, héritage de son passé d'ancienne île en forme de chaloupe. Ces passages étaient autrefois empruntés par les habitants des quais pour se rendre au centre de l'île. Bien que certains noms évocateurs de venelles, tels que ceux des rues de la Raie, de l’Anguille ou de la Marine, aient disparu, leur mémoire demeure. Vous pourrez faire des pauses pour admirer la vue : d'un côté, un joli jardin offre un panorama sur la rive sud de la Loire, s'étendant de La Montagne à Saint-Jean-de-Boiseau, tandis qu’au nord, vous pourrez apercevoir la Tour à Plomb de Couëron. Autrefois, Basse-Indre était un véritable pôle commercial, attirant les clients locaux ainsi que ceux des communes environnantes, avec des commerces prospères et des buvettes toujours animées. Aujourd’hui, le marché dominical d'Indre est l'un des plus prisés de la région, un véritable point de fierté pour la commune ! En ce qui concerne Haute-Indre, la commune a connu une croissance industrielle significative, notamment avec l'installation de l'usine La Bordelaise au début du XXe siècle, devenue aujourd'hui Soferti. En traversant la Loire, après quelques minutes de navigation, vous aurez l'opportunité de découvrir Indret, ancien fief de la Manufacture royale de canons au XVIIIe siècle, où l'atelier de forerie a été transformé en chapelle.

Le Circuit des Marais, situé à Brains dans le département 44 en France, offre une belle harmonie entre bocage et marais, avec une alternance de bosquets, vignes et roseaux. S'étendant sur 12 km, ce parcours balisé en jaune reflète la richesse des paysages de la Loire. Pour ceux qui préfèrent une randonnée plus courte, une variante de 7,3 km, balisée en bleu, est également disponible. Ce sentier est parfait pour la randonnée à pied, à cheval ou à VTT, et permet d'explorer la nature tout en étant au contact d'une faune variée et d'une flore abondante. Sur les hauteurs du circuit, les vignes et les cultures maraîchères se déploient à perte de vue, tandis qu'un changement de décor se profile au chemin de la Barbotinière, à la lisière du bocage. À cet endroit, les randonneurs peuvent admirer une vue panoramique sur le château de Briord et la rivière de l'Acheneau, dont l'écoulement varie en fonction des niveaux du Lac de Grand Lieu et de la Loire. Parmi les autres points d'intérêt, on trouve les moulins du Breuil et de la Fouëlle, ainsi que des marais et un nid de cigognes. À seulement 1 km du circuit, le Port Hamoneau, avec son riche passé maritime, constitue un cadre idéal pour une pause pique-nique en pleine nature.

Le Circuit des Coteaux de la Montagne, situé à La Montagne dans le département 44 en France, vous invite à explorer une variété de paysages captivants et à découvrir de nombreuses curiosités. Adaptée à toute la famille, cette promenade permet de bénéficier d'une vue imprenable sur la vallée de la Loire, où vous pourrez admirer les panoramas de Cheviré, Haute-Indre et Basse-Indre. En poursuivant votre chemin, vous traverserez le Bois des Fous, dont le nom serait dérivé du mot breton « faou », signifiant « hêtre ». Ce bois abrite une richesse d'essences variées telles que des hêtres, chênes, châtaigniers, merisiers, peupliers, bouleaux et quelques érables champêtres. Au printemps, le sous-bois s'illumine de fleurs sauvages. Un autre point d'intérêt majeur est le Château d'Aux. Édifié à partir de 1769 par le Chevalier d'Aux de Bournay et le renommé architecte Ceineray, ce vaste édifice était le symbole de la fortune du seigneur, faite grâce à ses plantations d'ananas à Saint-Domingue. Cependant, la Révolution française mit fin à cette prospérité, et en 1791, le château hébergea une garnison pour protéger la fonderie de canons d'Indret. Aujourd'hui, le Château abrite une Maison d'Enfants. Non loin de là, entre La Montagne et Bouguenais, se trouve le village de Roche-Balue, dont le port a prospéré dès le XIVe siècle. Roche-Balue invite à la rêverie, ses ruelles étroites étant parfaites pour s'égarer. Prenez le temps de vous laisser porter par l'ambiance du petit port : avec un peu de chance, vous pourrez observer l'arrivée d'un bateau.

Histoire du Bois-Corbeau La chapelle du château du Bois-Corbeau, située à Cheix-en-Retz dans le département de la Loire-Atlantique, remonte au XIIe siècle. Réalisée dans un style roman, elle fut construite par les moines de l'abbaye de Sainte-Marie-de-Pornic. La partie la plus ancienne du château, quant à elle, date du XIVe siècle et était déjà un lieu de rendez-vous pour les échevins nantais lors de chasses. Au XVème siècle, la terre noble du Bois-Corbeau fut la propriété de ces mêmes échevins nantais. Au XVIIème siècle, les familles Blanchet de Fougère et Brillaud de Laujardière en prennent possession, entreprenant des travaux de construction. Au début du XXe siècle, un bâtiment supplémentaire en pierre et brique est édifié, comprenant deux ailes perpendiculaires et une tourelle d'angle surmontée d'un clocheton. Parmi les propriétaires notables du domaine, on trouve : René de Kercy, qui y résida de 1482 à 1542. César d'Aiguillon, durant la période de 1659 à 1664. Julien de Richardeau, de 1664 à 1671, suivi de son épouse Claude Bretin qui, en 1671, fit délimiter les terrains du domaine. Joseph-Marie-Pierre de Gravelaye, dont le père avait acquis le domaine par voie judiciaire. Charles Guchet, de 1719 jusqu'à son décès, laissant ses enfants mineurs comme héritiers. Claude Blanchet, seigneur de Fougères en 1732, ainsi que son fils Claude-Christophe Blanchet. Jean-Baptiste Brillaud du Noyer, en 1753, marié à Louise Blanchet de Fougères. Camille Brillaud de Laujardière, qui devint propriétaire du Bois-Corbeau le 19 janvier 1882, avant de décéder le 19 novembre 1917. Il laissa son épouse Henriette de Guerry et cinq enfants, dont Marie Josèphe Camille Renée Brillaud de Laujardière. Cette dernière acquit la pleine propriété du domaine le 23 septembre 1934, suite à une vente par licitation des autres héritiers. Veuve, elle décéda le 5 août 1975 au Bois-Corbeau, laissant ses deux fils, Antoine-Marie et René-Régis Bergeron en héritage. Antoine-Marie Bergeron, médecin, obtint le 15 mars 1976 la pleine propriété d'une partie du domaine, y compris les bâtiments, conformément à un testament de sa mère. L'autre partie revint à son frère René-Régis Bergeron, contrôleur aux armées. La propriété est privée et non ouverte au public, bien que le circuit pédestre de la Pierre Tremblante passe à proximité du château, empruntant le chemin des soupirs qui mène à un calvaire.

Le Château de Briord, situé à Port-Saint-Père dans le département de la Loire-Atlantique (44), possède une histoire riche et fascinante. En 1225, la seigneurie de Briord est établie sous la direction de Séris de Rezay et du Pallet, qui détient également les terres des Huguetières. Ce seigneur possède le droit de justice sur ses dix domaines, incluant la peine capitale. En 1468, Pierre Landais, trésorier du duc de Bretagne, acquiert le domaine et en fait une propriété somptueuse. Il y aménage trois étangs et quatre allées d'entrée, tout en préservant des éléments défensifs tels que les douves et un pont datant de cette époque. En 1725, Jean Charette, un riche Nantais, épouse Françoise de Lépinay, héritière de Briord. Il décide rapidement de démolir le manoir de Pierre Landais pour construire un nouveau château. À ses côtés, il fait édifier une chapelle privée dédiée à Saint-Germain, construite par Joseph Charette en 1780. Le château est entouré de douves profondes et une imposante tour est ajoutée à la façade nord de l'ancien manoir féodal. À la mort de Jean Charette en 1754, son fils Joseph hérite du domaine. Ce dernier, dernier seigneur de Briord, s'engage activement pendant la Révolution et décède en octobre 1792. En 1793, le domaine est saisi et vendu comme bien national, après avoir été dépouillé de ses meubles. Jean-Anne Dubois-Violette, un négociant nantais, prend possession de Briord en 1800, bien que Louise du Cambout de Coislin, fille de Charette, parvienne à récupérer une partie de son héritage avec l'aide d'acheteurs. Dubois-Violette, entrepreneur dans la conserverie alimentaire, fait faillite en 1833, ce qui le contraint à vendre ses terres de Briord et à se réfugier chez un voisin. Au XVIIIe siècle, le domaine de Briord est également renommé pour son vignoble, cultivé avec soin par la famille Charette. Ils possédaient alors 36 pieds de vignes et récoltaient environ 244 tonneaux de vin par an, un revenu qui finit par décliner, au grand désespoir de Joseph Charette. Pour les passionnés d'histoire, des visites guidées du site sont organisées avec Éric Peters, actuel propriétaire du château, ou par des bénévoles dans le cadre d'événements "Rencontres avec nos passionnés", notamment "Le Château de Briord : Une folie nantaise en Pays de Retz à partager sans modération", proposées par l'Office de Tourisme Intercommunal de Pornic. Des découvertes gratuites du site sont également disponibles chaque mois. Pour en savoir plus sur le Château de Briord, le projet régional "Terre de Briord" offre une restitution historique enrichissante. Une vidéo de France 3 est également disponible sur ce sujet.

Le Port-Hamoneau, niché à Port-Saint-Père dans le département 44, surplombe les rives de l’Acheneau, une charmante rivière reliant le lac de Grand-Lieu à la Loire. C'est un endroit privilégié pour se promener, pêcher ou simplement se détendre à l'ombre d'un arbre. Le site offre également une vue splendide sur le paysage marais environnant.

Au sud du village, Port-Hamoneau se situe sur les rives de l’Acheneau, cette charmante rivière qui relie le lac de Grand-Lieu à la Loire. C'est ici qu'il est agréable de quitter son véhicule pour poursuivre l'exploration à pied. On peut également choisir d'arriver en canoë ou en barque, faisant ainsi écho aux temps anciens où les chalands venaient livrer de la chaux avant de repartir chargés de vin ou de sable de grès rouge des villages environnants. De nos jours, on pourra apporter une canne à pêche ou enfiler des chaussures confortables pour jouer les aventuriers le long des sentiers. Sur place, un ponton nous invite à nous avancer au-dessus de l'eau, tandis qu'un cabanon sur pilotis offre un point de vue imprenable sur la nature environnante. L'observatoire de Port-Hamoneau surplombe la rivière et les marais environnants : un ragondin fait des ronds dans l'eau, des vanneaux s'envolent à son approche, et il n'est pas rare qu'un busard surgisse des roseaux. Qui sait, peut-être aurez-vous la chance d'apercevoir une loutre ? N'oubliez pas vos jumelles pour profiter pleinement de ce spectacle naturel.

DISTRICT ARCHERY, situé à Nantes dans le département 44, vous invite à découvrir ses locations de structures gonflables et ses activités ludiques et uniques ! Profitez d'une large gamme d'options accessibles à tous, telles que l'Archery Tag, le Bubble foot, des châteaux gonflables et bien plus encore. Que vous souhaitiez réserver pour une heure, une journée ou une semaine, nous adaptons nos offres selon vos désirs. Vous avez le choix entre une simple location ou l'accompagnement d'un animateur. Que vous soyez un particulier ou un professionnel, pour une occasion spéciale ou simplement pour le plaisir de vous amuser, n'hésitez pas à explorer nos diverses activités !

Tout au long de l'année, le site naturel de loisirs de La Roche-Ballue, situé à Bouguenais dans le département 44 en France, offre un cadre idéal pour profiter d'activités récréatives et de détente. S'étendant sur 13 hectares, cet espace naturel permet de s'adonner à des sports variés tout en explorant la richesse de l'environnement local dans une ambiance conviviale.

Cheix-en-Retz, une commune pittoresque au cœur de la Loire-Atlantique, vous invite à explorer le superbe circuit de la Pierre Tremblante. Ce parcours, qui vous plonge dans un cadre naturel exceptionnel, est parfait pour les amoureux de la randonnée, de la photographie et de la nature. À peine le chemin commencé, vous rencontrerez la célèbre et énigmatique "Pierre Tremblante", considérée comme l'une des plus anciennes marques de présence humaine, datant du Néolithique. Cette pierre, équilibrée sur d'autres roches, est entourée de légendes et aurait la capacité de vibrer pour ceux qui se tiennent à un endroit précis. Le circuit vous permet également d'observer la faune locale. En longeant les marais et les rives de l’Acheneau, vous aurez la chance d'apercevoir une multitude d'espèces animales. Les élégants hérons et ibis peuplent les berges, tandis que les canards et grenouilles animent les eaux environnantes. Ce milieu naturel préservé constitue un véritable refuge pour la biodiversité, offrant des instants uniques aux passionnés de nature et aux ornithologues en herbe. En plus de sa richesse en faune, le circuit de la Pierre Tremblante révèle des paysages d'une beauté saisissante. Profitez de magnifiques points de vue et de panoramas enchanteurs qui varient au gré des saisons, offrant des jeux de couleurs et de lumières tout au long de l'année. Ce sont des lieux idéaux pour capturer des souvenirs inoubliables. Que vous soyez photographe amateur ou professionnel, les paysages et la faune de Cheix-en-Retz constituent des sujets d'une richesse exceptionnelle. Le circuit de la Pierre Tremblante est accessible à tous, quel que soit le niveau de randonnée, en faisant un parcours parfait pour les familles, les amis ou les personnes en quête de sérénité. Cheix-en-Retz et son circuit sauront vous charmer et vous offrir des moments de détente en pleine nature. Profitez de ce coin de paradis naturel ! Ce circuit vélo, de courte à moyenne distance, présente quelques passages techniques mais reste adapté à des pratiques familiales (hors très jeunes enfants) et peut être parcouru avec un vélo VTC ou VTT. Des fiches de randonnée sont disponibles en téléchargement ci-dessous et à nos Offices de Tourisme.

Histoire de l'Évangélisation La région de Les Moutiers-en-Retz a été évangélisée au VIe siècle par saint Martin de Vertou (527-601), un moine missionné par l'évêque de Nantes, Félix, afin de lutter contre le paganisme dans le sud de la Loire. Selon la tradition, la Pierre Saint-Martin, une grande dalle de gneiss située sur la rive de l'Acheneau, aurait servi de chaire à saint Martin pour prêcher devant les habitants. La paroisse de Cheix a été fondée aux Xe ou XIe siècles, et une première église a été érigée au bourg de Chesiacum durant les XIe ou XIIe siècles. Cet édifice, de dimensions modestes (environ 15 mètres de long sur 5 de large et des murs d’à peine 3 mètres de haut), est entouré d’un petit cimetière. Transformations au Fil du Temps Au XIIe siècle, le nom du saint patron de l'église a été changé. Initialement dédiée à saint Martin de Vertou, elle a été placée sous le patronage de saint Martin de Tours, comme dans d'autres endroits du Pays de Retz, notamment à Chauvé. La Révolution a été une période difficile pour la région, avec la destruction de la plupart des bâtiments, y compris l'église de Cheix-en-Retz, par les troupes républicaines en 1793. En 1803, l'église a été restaurée, et en 1833, elle a subi une extension avec l’ajout d’un petit clocher pour y installer une cloche. En 1852, le cimetière a été déplacé à son emplacement actuel et, l'année suivante, un baptistère a été installé dans l'église. Cependant, l'édifice demeurait trop petit et en mauvais état. En 1856, sous l'initiative du maire Claude Camille Brillaud de Laujardière, une décision a été prise pour reconstruire et agrandir l'église. Les anciennes pierres ont été réutilisées dans le nouvel édifice, qui a été conçu par l'architecte nantais Joseph-Fleury Chenantais. L'église actuelle date donc de 1856 et adopte un style néo-roman, remplaçant l'ancienne structure détruite pendant la Révolution. Caractéristiques Remarquables L'église présente des éléments architecturaux notables, tels que des piliers de la voûte du transept alternant pierres blanches et briques. Le bénitier en granit, datant du XIIe siècle, est un des rares vestiges de l'église médiévale. Les fonts baptismaux en marbre et en cuivre, installés en 1853, sont ornés d'une grille en ferronnerie artistique. La verrière du chœur, réalisée par un atelier des carmélites en 1856, illustre trois épisodes de la vie de saint Martin : sa charité, la fondation du monastère de Ligugé et son épiscopat à Tours. La bannière de velours et de soie, également créée en 1856, représente saint Martin et est utilisée lors des processions. Rénovations Récentes La nouvelle église a subi ses premières réparations en 1931, avec la réfection de la toiture et de la voûte de la nef, ainsi que l'installation de nouveaux vitraux. En 1935, le clocher a été équipé de deux nouvelles cloches, et une restauration interne a été effectuée dans les années 1960 pour adapter l'espace aux nouvelles pratiques liturgiques du Concile Vatican II. Au cours des années 1980, plusieurs travaux ont été entrepris, incluant la restauration du clocher, le ravèlement intérieur et le renouvellement du carrelage. Malgré ces efforts, l'église a souffert du temps, entraînant des travaux de réfection successifs pour préserver ce site religieux. À Découvrir L'église est idéalement située au cœur du bourg de Cheix-en-Retz et peut être visitée dans le cadre d'une randonnée sur le circuit de la Pierre Tremblante. Il est à noter que l'intérieur de l'église n'est accessible que le samedi matin de 10h à 11h30, en dehors des célébrations. Sources : Emile Boutin, Histoire religieuse du Pays de Retz, abbayes, prieurés, paroisses, édition SILOE 1999 ; Le Patrimoine des communes de la Loire Atlantique, éditions FLOHIC, 1999.

Le sentier des Hauts du Sillon, situé à Saint-Étienne-de-Montluc dans le département 44 en France, permet aux randonneurs de gravir lentement le Sillon de Bretagne. Cette ascension les mène vers des plateaux dégagés offrant des vues panoramiques, ainsi que la découverte de plusieurs charmantes habitations.

Découvrez "VÉLO DÉTOURS - LA BOUCLE DES MARAIS" à Saint-Étienne-de-Montluc, dans le département de la Loire-Atlantique (44). Éloignez-vous des routes habituelles et plongez dans un écrin de verdure au cœur de l'estuaire de la Loire. Ce parcours vous promet des paysages exceptionnels et des moments inoubliables ! Prenez vos vélos à l'Office de Tourisme de Saint-Étienne-de-Montluc et partez à la découverte des marais. Vous évoluerez dans un environnement naturel préservé, où l'eau joue un rôle central avec ses canaux, étiers, vannes et écluses. L'interaction entre les eaux douces de la Loire et les eaux salées de l'océan Atlantique contribue à une biodiversité florissante. Vous aurez l'occasion d'observer une multitude d'oiseaux, tels que les ibis sacrés, les aigrettes garzettes, les hérons cendrés et les garde-bœufs, sans oublier les cigognes, facilement reconnaissables grâce à leurs nids. Ne manquez pas de vous arrêter au Sémaphore de l'Angle, une œuvre inédite de l'artiste Vincent Mauger, qui vous offrira une vue imprenable sur les prairies environnantes. Poursuivez votre aventure jusqu'à Cordemais, où vous découvrirez son charmant port de Loire et le centre de découverte Terre d'estuaire, un lieu interactif qui vous plongera dans les mystères de l'estuaire. Profitez d'une expérience unique avec le ballon ascensionnel, qui vous élèvera à 25 mètres pour une vue spectaculaire allant jusqu'à Saint-Nazaire. Poursuivez votre chemin vers la Villa Cheminée, une création de Tatzu Nishi qui s'intègre parfaitement dans le paysage de la centrale électrique à proximité. Ensuite, laissez-vous séduire par le plan d'eau de la Côte, idéal pour l'observation des oiseaux et la découverte de la flore locale. Vous y rencontrerez une mystérieuse épave, vestige d'un bateau dévaseur ayant servi à l'entretien des canaux au XIXe et XXe siècle. Avant de regagner Saint-Étienne-de-Montluc, prenez le temps d'apprécier la sérénité des marais. Faites une pause à la Haie-Mahéas pour apercevoir l'ancien couvent dissimulé derrière les arbres. Enfin, après un dernier effort, vous retournerez à votre point de départ. En chemin, explorez la chapelle de l'Angle, les croix de chemin, l'hippodrome, la centrale électrique de Cordemais et l'église de Saint-Étienne-de-Montluc. Pour plus d'informations, contactez l'Office de Tourisme Estuaire et Sillon au bureau d'accueil de Saint-Étienne-de-Montluc, situé au 13 place de la Mairie, ou au bureau de Savenay, 5 place Guépin. Téléphone : 02 40 85 95 13 / 02 28 016 016. Email : contact@estuairesillontourisme.fr / Site web : www.estuairesillontourisme.fr.

"MONTLUC CINÉMA", situé à Saint-Étienne-de-Montluc dans le département 44 en France, est une salle de cinéma reconnue pour sa programmation Art et Essai, et qui possède également le label Jeune Public.

Festival Handiversité Les bébés commencent à faire leurs premiers gestes dès le plus jeune âge. Cet atelier accueille parents et bébés pour leur proposer l’art et la manière d’utiliser les signes autour de jeux, comptines et chansons. Gratuit, sur inscription. A partir de 6 mois.